;-) clin d'oeil en rébus aux anciens apothicaires
A la manière d'un Mémento, ce Blog rassemble pour mon usage personnel, des Informations, des Liens, des Actualités, des Rappels réglementaires et des Remarques personnelles. Mais comme cet ensemble didactique rapide peut aussi être utile à d'autres pharmaciens d'officine, je le laisse en ligne afin qu'il soit consultable. Et je remercie dès maintenant les éventuels lecteurs qui laisseront des commentaires et leurs remarques pour me permettre de faire les mises à jour nécessaires, les améliorations et les corrections souhaitables.

dimanche, mai 19, 2013

Centres Antipoison


Centres Antipoison et de Toxicovigilance
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Centres de Toxicovigilance

mardi, mai 14, 2013

Les femmes consomment plus de médicaments que les hommes ...

Où les femmes consomment plus de médicaments que les hommes !
JIM - UNIVADIS
14 mai 20130
Les praticiens le constatent et plusieurs travaux l'ont démontré, les femmes et les hommes ne font pas le même usage des médicaments. Une enquête suédoise apporte quelques informations supplémentaires sur cette différence entre les sexes. Le registre national suédois de prescription a fourni un recensement complet de tous les médicaments prescrits en Suède au cours de l'année 2010, révélant que 2,8 millions d'hommes (59 %) et 3,6 millions de femmes (76 %) s'étaient vus, au cours de cette année-là, prescrire au moins un médicament. La conclusion est conforme à ce qui était pressenti : les femmes consomment plus de médicaments, quel que soit leur âge, excepté avant 10 ans et même en excluant les contraceptifs. Une différence d'utilisation entre les sexes est présente pour 48 des 50 classes pharmacologiques considérées, après ajustement pour l'âge des patients. En nombre absolu, ce sont les antibiotiques qui obtiennent la palme de la différence entre les sexes, avec 265,5 femmes pour 1 000 qui s'en sont vu prescrire contre 191,3 hommes pour 1 000. Suivent les traitements à visée thyroïdienne (65,7/1 000 femmes vs 13,1/1 000 hommes), et les antidépresseurs (106,6/1 000 femmes vs 55,4/1 000 hommes). Le constat est un peu différent lorsque l'on compare les nombres relatifs. Ce sont alors les antimycosiques systémiques qui font la plus grande différence entre hommes et femmes, en « faveur » des femmes, près de 7 fois plus prescrits chez ces dernières, les anti-ostéoporotiques, 5 fois plus prescrits chez les femmes et les médicaments à visée thyroïdienne, 4,5 fois plus prescrits chez les femmes. En revanche, les traitements contre la goutte, les psychostimulants et les inhibiteurs de l'enzyme de conversion sont plus souvent prescrits à des hommes (4, 6 et 7 fois plus souvent). Certaines de ces différences s'expliquent par des variations dans la prévalence des pathologies ou par des phénomènes biologiques. Ainsi les désordres musculo-squelettiques, les pathologies thyroïdiennes ou les migraines sont plus fréquentes chez les femmes. Ces dernières seraient aussi plus sujettes au risque de toux avec les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, expliquant qu'ils sont plus souvent prescrits chez les hommes. Elles seraient en revanche moins concernées par la prévention secondaire en matière de contrôle des paramètres lipidiques. Au cours de leur vie, les femmes ont beaucoup plus souvent que les hommes des occasions de consultations : contraception, grossesses, dépistages du cancer du col ou du cancer du sein, problèmes gynécologiques, etc. En ce qui concerne les antibiotiques, les auteurs émettent l'hypothèse que la prescription plus fréquente chez les femmes serait en lien avec les infections urinaires, plus fréquentes chez elles, d'autant qu'il a été rapporté un nombre non négligeable de surdiagnostics dans ce domaine. Reste que certaines différences ne trouvent pas d'explication rationnelle d'un point de vue médical. Elles pourraient traduire une prise en charge inégale des patients selon leur sexe.

samedi, mai 11, 2013

Hortensia


Munich, le samedi 11 mai 2013 - "... de jeunes Allemands ayant décidé de contourner l’interdiction de consommer de la marijuana en jetant leur dévolu sur les hortensias. Séchées et introduites dans des « cigarettes », les fleurs d’hortensias provoquent de fait des effets proches de ceux du cannabis : détente, euphorie, voire légères hallucinations. ... 
« Les effets secondaires sont très néfastes pour la santé : troubles gastro-intestinaux, problèmes respiratoires, accélération du rythme cardiaque, étourdissements » énumère ainsi pour le journal suisse Le Matin, Kurt Hostettmann, professeur de pharmacologie à Lausanne et à Genève. Surtout, les substances présentées dans la fumée d’hortensia peuvent se muer en « acide cyanhydrique, plus connu sous le nom de Zyklon B » de triste mémoire. ..."
source  : http://www.jim.fr
 ... Faudra-t-il interdire les hortensias comme ce fut le cas pour la belladone ?